Marché de l'art
- BROS Christian
Régulièrement Art Sy organise une étude du marché de l'art et les résultats (en anglais) peuvent être téléchargés sur leur site.
Pour celle et ceux qui ne reçoivent pas leur newsletter ou qui ne comprennent pas l'anglais, nous avons fait ci-dessous une traduction de cette étude, toujours très intéressante pour le suivi du marché de l'Art actuel.
Sommaire de cette étude:
- Introduction
- Inflation
- Achat en ligne
- Nouveaux collectionneurs
- Artistes émergeants
Lire la suite : Un aperçu concernant les collectionneurs d'art par Art Sy - Sept. 2022
- BROS Christian
Recherche d'oeuvres
Les collectionneurs avec lesquels nous sommes en contact recherchent certaines oeuvres d'artistes.
Si vous avez certaines oeuvres des artistes mentionnés ci-dessous et que vous souhaitez les vendre, contactez-nous.
En ce moment nous recherchons les oeuvres de:
Que vous choisissiez la location ou l’acquisition d’œuvres, des déductions fiscales sont possibles, profitez-en !
Vous choisissez la location :
Les loyers sont des charges d’exploitation qui sont à 100% déductibles fiscalement et sans aucun plafond. Comme tout bien en location, vous déduisez en intégralité le montant des loyers de votre C.A. au titre de l’aménagement de vos locaux professionnels.
Les garanties offertes par la location : oeuvres entrées à l'actif de l'entreprise donc assurées en cas de dégradation ou de vol.
Vous choisissez l’acquisition :
Le nouveau dispositif de la loi du 1er août 2003 autorise l’entreprise désireuse d’acquérir des œuvres d’un artiste vivant à pratiquer un amortissement linéaire déductible sur 5 ans, dans la limite de 5 pour mille du chiffre d’affaires de la société. L’entreprise s’engage à exposer l’œuvre dans un lieu « accessible aux clients et/ou aux salariés de l’entreprise, à l’exclusion des bureaux personnels »
Lire la suite : Fiscalité autour de l’Art - Déductions Fiscales pour les Entreprises
Angleterre - Le programme de la BBC Antiques Roadshow a découvert une authentique peinture de van Dyck, antérieurement considérée comme une copie, et datant des années 1630. La peinture, qui est le portrait d’un magistrat de Bruxelles, est vue comme une étude pour une plus grande oeuvre de 1634, a été achetée pour 400 livres il y a une dizaine d’années par un prêtre, Father Jamie MacLeod.
Lire la suite : Antiques Roadshow découvre un authentique portrait de van Dyck
Brest - La Timonerie est un site boutique en ligne qui vend et expédie partout en France et dans le monde. Les objets d'art de marine s'adressent à tous les passionnés collectionneurs d’objets et d’antiquités de Marine. Raoul Le Lann vous propose le meilleur de ses découvertes.
Les passionnés trouveront leur bonheur pour un cadeau idéal, vous allez voyager au bout du monde avec ces antiquités présentent sur le site de la Timonerie. Un magnifique site dédié à la mer et aux bateaux. Des trésors à découvrir sur le site La Timonerie.
C'est un investissement qui se montre et se porte au poignet. Un actif que l'on peut transmettre de génération en génération. Les montres de collection sont entrées il y a quelques années dans le cercle fermé des placements plaisir, non soumis à l'ISF. « A la base, c'est un objet qui donne l'heure et qui est devenu au fil du temps une valeur refuge, voire une valeur spéculative », constate Christian Odin, fondateur de Cresus.fr, l'un des principaux acteurs de la montre d'occasion en France. « C'est un produit où il y a une très grande régularité, avec peu de crise, à la différence de certains produits financiers traditionnels. Certaines montres exceptionnelles disposent d'un gros potentiel de valorisation, mais pour la majorité, les prix augmentent de façon régulière. Il y a bien eu un phénomène de spéculation il y a cinq ou dix ans, mais le marché est redevenu plus sain depuis 2009. »
Lire la suite : Montre de collection : l'objet qui donne l'heure devenu valeur refuge
La maison Bonhams organisait cette semaine une vente aux enchères de pièces de monnaie américaine, dont certaines très rares. Plusieurs ont dépassé les 100.000 dollars.
C’est un autre placement plaisir qui demande érudition, patience et intérêt pour l’Histoire, les pièces de monnaie. Les belles collections peuvent prendre beaucoup de valeurs (Cf notre dossier Numismatique sur les Echos/Patrimoine) avec le temps, notamment pour les pièces en or. Même si l’or est à la peine depuis quelques mois, certaines pièces atteignent des sommes astronomiques, comme on vient de le voir lors d’une vente aux enchères organisée par Bonhams aux Etats-Unis. Un lot de cinq pièces commémoratives vient ainsi de partir pour 175.500 dollars (128.411). Une valeur d’autant plus élevée que les pièces commémoratives sont beaucoup moins recherchées et appréciées que les pièces de monnaie. Ces pièces de 1915, en or, ont été fabriquées pour l’exposition internationale Panam-pacific de San Francisco. La pièce de 50 dollars frappée spécialement pour la cérémonie d’ouverture.
Lire la suite : Enchères : les monnaies américaines s’envolent chez Bonhams
Il existe des solutions pour assurer sa collection d’oeuvre d’art. Une option facultative qui peut être intéressante, car certains sinistres sont désastreux.
Assurer sa maison n’est pas obligatoire pour un propriétaire. Pourtant, il viendrait à l’esprit de peu de gens de se passer, sciemment, d’une assurance contre l’incendie, les dégâts des eaux, le vol etc. De la même façon, il peut être judicieux, voire prudent, d’assurer sa collection d’oeuvres d’art, tant un accident peut vite arriver. Une œuvre d’un grand artiste contemporain mondial achetée à New-York et qui arrive en mille morceaux. Préjudice : 400.000 euros. Un tableau perforé par un collectionneur lors d’une manutention. Coût de la restauration et dépréciation de la valeur de l’œuvre : 215.000 euros… Deux exemples récents de sinistres remboursés par Hiscox France, un spécialiste de l’assurance dans le domaine de l’art.
Bijoux, montres de luxe, oeuvres d'art, livres anciens, vins, forêts… Il existe une large palette de « placements plaisir » permettant d'allier centres d'intérêt personnels et rendement purement financier.
Quand on parle de placement plaisir, il faudrait mettre le mot plaisir avant celui de placement. Acheter un tableau ou une sculpture relève de l'émotion et du goût (voir page 35). Il peut être question de prestige social, mais aussi d'un projet de vie. On assouvit sa passion pour le vin en achetant un vignoble ; pour la chasse, en acquérant une forêt. Opter pour les montres, les timbres ou les livres anciens traduit également l'âme du collectionneur.
Des acheteurs toujours plus nombreux et de plus en plus riches. Des ventes qui atteignent des chiffres record. La folie qui s'est emparée du petit monde des enchères impose un niveau de stress inédit aux professionnels du secteur. Et provoque des départs en chaîne.
« Dallas, ton univers impitoyable… » A en juger par les remous qui ont secoué le microcosme des enchères d'oeuvres contemporaines en cette fin d'année, le monde de l'art n'a rien à envier à celui du pétrole. L'un des commissaires-priseurs stars, Tobias Meyer, qui peut se targuer d'avoir obtenu, lors des dernières ventes d'art contemporain de Sotheby's à New York, le plus important chiffre d'affaires jamais réalisé en une soirée par cette maison - soit 380 millions de dollars dont 105,4 millions pour le « Silver Car Crash » d'Andy Wharol - a été remercié après plus de vingt ans de bons et loyaux services. Ses résultats n'ont pas été à la hauteur de son concurrent Christie's, qui a atteint le score de 691,6 millions de dollars - dont 142,4 millions pour le seul triptyque de Bacon - et ils n'ont pas satisfait les espérances de Daniel Loeb, le « hedge funder » devenu le premier actionnaire de Sotheby's. Tobias Meyer a probablement servi de fusible au PDG de la multinationale américaine de l'art, Bill Ruprecht, menacé lui-même d'être remercié, après les vives critiques émises à son encontre l'été dernier par Daniel Loeb.
Lire la suite : Art : des ventes aux enchères sous très haute tension
Les artistes auteurs des arts graphiques et plastiques ont répondu présent à l’appel lancé par l’Association La Maison des Artistes en réaction au projet de création d’une caisse unique des artistes auteurs, émis par les trois ministères de tutelle fin janvier, sans aucune concertation des représentants de La Maison des Artistes. Lire l'article
Des Émirats à la Chine capitaliste, une génération de collectionneurs a émergé. Ils imposent leur loi au marché.
La carte du monde de l'art change-t-elle radicalement, comme celle de l'Europe moderne après les voyages de Christophe Colomb ? C'est le propos de l'artiste libanais Walid Raad qui invite à relire l'histoire de l'art au Musée du Louvre et à inverser le regard de l'Occident sur l'Orient. Les faits sont là. Le Moyen-Orient, guidé par le Liban bilingue et sa diaspora cultivée, bouillonne de projets. Les pays du Golfe, riches de l'or noir, s'achètent musées et tableaux trophées, rubis sur l'ongle.
La Chine nouvelle a vu naître des collectionneurs à la fringale impériale: quelque 360 musées privés ont ouvert en 2012. Après des débuts un peu voyants, la Russie post-soviétique et ses nouveaux pays limitrophes entament la phase II, déjà plus posée, de leur métamorphose capitaliste. Le Brésil, puissance mondiale en pleine croissance, abrite des musées privés stupéfiants comme Inhotim à une heure de vol de Rio. L'Inde princière vit à Londres. Et Singapour, port franc, fait rêver avec le pouvoir d'achat faramineux de ses «baba bling». Tous ces pays émergents ont leurs milliardaires qui misent sur l'art pour valoriser leur fortune nouvelle.